Dyslexie, anxiété, angoisse quand la peur de l’échec paralyse nos enfants…

Bien souvent nos enfants sont victimes de la pression exigée par le système scolaire en place, difficile pour nous, parents, d’être toujours à l’écoute, alors que nos propres rythmes de vie nous obligent à être à 100% sur tous les fronts : familial, professionnel, couple, enfants, sans s’oublier soi-même.

A force de garder la « tête dans le guidon » nous sommes souvent démunis face aux problèmes que nos enfants rencontrent, et bien souvent, lorsque nos enfants ne s’intègrent pas au système éducatif en place et n’arrivent pas à s’y adapter.

Les établissements, les directions, les corps enseignants n’ont souvent pas les formations, la connaissance de ces situations ni même, dans certains cas, malheureusement la volonté d’aider ces enfants différents, car cela demande du temps et une adaptation de leur part, et le système éducatif français ne les invite guère à prendre ce chemin.

Bien souvent rigidité, manque d’implication et manque de connaissance sur le sujet, nous amènent à faire face à des personnes, qui au lieu de chercher avec bonne volonté à aider nos enfants, préfèrent utiliser la culpabilité parentale, tout cela pour leur éviter une remise en question de leur propre savoir, de leur propre approche.

Afin d’aider et soutenir ses enfants, la sophrologie peut être l’une des solutions pour leur fournir les outils nécessaires pour apprendre à nos enfants à se dépasser, à mobiliser les capacités en eux, dans l’objectif de renforcer leur confiance en eux.

Voici également un site d’une association que je soutiens, l’association Phobie scolaire, qui dans les cas où nos enfants n’arrivent plus à sortir de leurs angoisses, peut vous être d’un énorme soutien face aux incompréhensions et aux manques d’informations sur ce sujet, un sujet encore malheureusement tabou.

Un site à consulter également www.nonauharcelement.education.gouv.fr , un fléau qui touche également les collèges ruraux, où l’esprit du clocher, la loi du silence des enfants « Moi je balance pas » et celle des établissements, sont la cause de nombreux ravages chez nos jeunes adolescents.  Les statistiques et les égos d’adultes priment sur la prise en compte effective de la détresse des enfants victimes, et il est bien souvent plus simple de culpabiliser la victime, jusqu’à dans certains cas, les pousser en dehors de l’établissement pour éloigner le problème !

Il faudrait systématiquement constater, recenser et dénoncer les faits, réagir pour créer des actions car ce ne sont ni le silence ni le laisser faire qui sont des solutions.

Il existe en effet de nombreux établissements où direction, corps enseignant, enfants, parents coordonnent leurs efforts pour pérenniser un mieux-être, cela demande plus d’efforts et cela en vaut la peine.

Sortez des clichés « Mais ça ne sert à rien », agissez, faites entendre votre voix !

Les parents démunis face à de telle situations doivent se regrouper pour mieux agir et obtenir les bons outils pour agir grâce à ces associations.

« Sois le changement que tu veux voir dans le monde » Gandhi

Christelle Schnitzler

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