Le stress est actuellement le phénomène le plus ravageur de notre société. Ceci est encore plus vrai dans le monde professionnel et le cadre, clé de voûte de toute organisation, le subit de plein fouet. Ceci crée un effet démultiplicateur, car plus l’encadrement est victime de stress, et plus il le génère et le diffuse à son tour.

L’entreprise qui subit un niveau de stress trop élevé, verra sa gestion perturbée et rendue inefficace. En effet, si le stress est une source de coûts directs (par rapport aux maladies connues), il cause également toutes sortes de désordres managériaux non quantifiables (via une prise de décisions peu réfléchie, mal structurée, ou orientée vers des objectifs peu clairs)! Les personnes qui en sont atteintes perdent leur vision d’ensemble, deviennent toujours plus réactives, et agissent par à-coups. Si rien n’est entrepris, elles courent à l’effondrement personnel tôt ou tard.

SEUIL DE STRESS

Il est tout d’abord nécessaire de se rendre compte qu’un niveau minimum de stress est souhaitable – et parfois même vital! – pour mobiliser l’individu comme l’organisation. Le « seuil de stress » peut ainsi être défini comme le niveau idéal qui stimule le potentiel de l’individu au maximum, sans pour autant l’amener vers l’épuisement.

Il est également important de se rendre compte que ce niveau de stress optimal varie d’une personne à l’autre et évolue dans le temps chez un même individu. Le « seuil de stress » est donc difficile à évaluer. Si, toutefois, le cadre apprend à le connaître pour lui-même et les membres de son équipe, il pourra plus facilement doser et rythmer les changements souhaités.

Connaître et reconnaître un seuil de stress ne signifie pas ne pas le dépasser, mais éviter de vivre trop longtemps au-dessus ou au-dessous de ses moyens.

Je vous accompagne tout au long de ce processus.